Submachine 4: the Lab, la solution en francaise


– Tourner à droite, prendre le marteau sur la fenêtre. Tourner deux fois à gauche et descendre à l’échelle. Tourner à droite et casser le cadenas avec le marteau. Ouvrir la fenêtre et entrer dans le grenier.

– Descendre à l’échelle, prendre les boules de naphtaline dans la poche de la chemise. Tourner à droite, prendre le tuyau accroché à la poutre. Tourner à droite et ramasser la brosse à cheminée dans l’angle de la pièce. Ramasser la bille bleue sur le fauteuil.

– Remonter sur le toit, utiliser la brosse dans la cheminée. Revenir dans le grenier, prendre la clé tombée de la cheminée. Tourner deux fois à gauche, prendre la clé sur le portemanteau, tourner encore à gauche et ramasser la molette sous la table. Ouvrir la porte avec la clé grise et descendre. Prendre la bille bleue au premier palier. Descendre encore.

– Tourner à gauche, ramasser la bille derrière la poubelle. Cliquer sur l’écran puis sur le bouton vert. Suivre la conversation jusqu’à l’impression de la feuille. Prendre la liste imprimée. Tourner trois fois à gauche, prendre le briquet sur la fenêtre. Reprendre les escaliers et descendre. Prendre la cafetière à l’inter palier.

– Prendre les notes sur la table et la bille vers la chaise reversée. Tourner à gauche, entrer dans la salle de bain. Poser la cafetière sur la grille au sol, utiliser le marteau pour déboîter le bouchon sur le tuyau qui descend du plafond. Prendre le savon sur l’évier et la bille derrière les tuyaux.

– Tourner trois fois à droite, prendre le CD sur la table. Monter à l’échelle, prendre le troisième tube à essais.

– Tourner à droite, prendre le tournevis et la bille vers le tuyau de gaz.

– Remonter sur le toit, aller tout à gauche. Utiliser le tournevis pour dévisser la manivelle. Prendre la manivelle et revenir dans la salle de bain. Placer la manivelle sur le tuyau et tourner pour remplir la cafetière d’eau. Reprendre la cafetière.

– Revenir dans la pièce où se trouvait le tournevis. Raccorder au gaz le bec bunsen avec le tuyau souple, placer la molette sur le gros tuyau, ouvrir le gaz sur le tuyau et le bec bunsen. Allumer avec le briquet. Poser la cafetière d’eau, mettre dans l’ordre : le savon, le tube à essais et la naphtaline. Récupérer le tube et la cafetière. Redescendre l’échelle, aller à la salle de bain et remplir le tube à essai d’eau (même méthode que pour la cafetière), récupérer le tube d’eau. Aller tout à droite, ouvrir la porte avec la clé. Entrer, sonner la cloche, et verser la cafetière sur le panneau de contrôle pour ouvrir la grille. Tourner à droite, ramasser la note au sol. Entrer les premières coordonnées trouvées sur la note: 104, valider avec le gros bouton.

– Tourner à droite, descendre l’échelle de bois. Tourner à gauche, prendre la bille dans les décombres. Tourner deux fois à droite, prendre le couteau et sonner la cloche. Revenir aux quatre boutons, descendre et prendre la bille dans l’œil de la statue.

– Les quatre boutons servent à ouvrir les quatre petites fenêtres du niveau. Observer pour chacune la forme du dessin dans le cercle. Pour ouvrir une fenêtre, il faut abaisser les deux ou trois boutons correspondant au dessin. (ex : _ combiné avec | donne : +). Récupérer ainsi deux tuiles et deux pierres (une carrée, une ronde). Placer ensuite tous les boutons en bas.

– Remonter l’échelle et placer les deux pierres dans les encoches. Monter à la nouvelle échelle. Prendre la tuile, continuer de monter et couper le fil avec le couteau. Revenir aux boutons, prendre la dernière tuile.

– Descendre et placer les quatre tuiles dans les encoches. Appuyer sur le bouton puis revenir au téléporteur. Monter à la nouvelle échelle et prendre l’ampoule en verre. Tourner à gauche et ramasser la note. Revenir au téléporteur et entrer les coordonnées suivantes : 690.

– Faire le tour des pièces, ramasser la note et la bille. Noter l’emplacement des quatre panneaux. Pour se situer dans ces pièces, il faut utiliser un système de coordonnées (X ; Y). La première salle est en (0 ; 0). L’outil commandant l’ouverture des panneaux est en (-1 ; 0). Pour ouvrir chaque panneau, il faut entrer ses coordonnées dans cet appareil (en bougeant les bras) et valider à chaque fois avec le bouton. Les coordonnées sont : (-1 ; -1), (1 ; 0), (1 ; 1) et (0 ; 1). Une fois les quatre validés, aller en (-1 ; 1) et prendre l’orbe.

– Revenir au téléporteur, entrer les coordonnées : 529.

– Aller deux fois à droite, placer l’ampoule sur l’appareil et enclencher la manivelle pour lancer la charge. Récupérer l’ampoule chargée et la bille sous la prise. Descendre, placer l’ampoule dans la pièce de gauche, abaisser la manivelle et ramasser la note. Reprendre l’ampoule, retourner la charger et procéder de même dans la pièce de droite.

– Recharger encore une fois l’ampoule puis enclencher la machine centrale. Prendre la bille vers les câbles. Monter au sommet, placer le CD dans la pince pour détourner le rayon laser. Aller à droite, ramasser la note et placer l’orbe sur le piédestal. Une fois explosée, prendre la clé puis revenir au téléporteur. Entrer les coordonnées : 551.

– Prendre la bille au sol, tourner à gauche. Prendre la note et couper l’eau en appuyant sur le bouton.

– Revenir au téléporteur, taper les coordonnées : 462.

– Tourner à gauche, prendre la note repérer les cubes, seulement deux sont levés. Tourner deux fois à droite, prendre la bille au sol. Tourner encore à droite, casser le cadenas avec le marteau et prendre l’hélice.

– Revenir au téléporteur et entrer les coordonnées : 800.

– Allumer la lampe avec le briquet Prendre la bille au sol. Tourner à droite, sonner la cloche et dévisser la plaque avec le tournevis pour récupérer une bille. Couper les fils avec le couteau.

– Aller deux fois à gauche, ramasser la note et monter. Allumer avec le briquet, tourner à droite. Monter, allumer avec le briquet, placer l’hélice et refermer le hublot. Prendre la bille au sol. Descendre et appuyer sur le bouton pour ouvrir la grille. Tourner à gauche, prendre la note et ouvrir le coffre avec la clé. Prendre le bras en or.

– Revenir a téléporteur, entrer les coordonnées : 770.

– Ramasser e note, cliquer sur les signe du mur : un rond, un carré et un triangle. Les prochaines coordonnées sont donc : 043.

– Tourner à gauche, verser le tube d’eau sur le globe lumineux. Prendre le sceptre doré. Tourner à gauche, ramasser la note, la bille dans l’angle et sonner la cloche. Revenir au téléporteur, entrer les coordonnées : 104.

– Monter, placer l’ampoule chargée dans l’appareil. Aller à gauche, abaisser le levier et regarder dans la longue-vue. Prochaines coordonnées : 452. Reprendre l’ampoule et aller au téléporteur. Entrer les nouvelles coordonnées. Aller à gauche, placer le bras et le sceptre sur la statue. Fin du jeu !

– En fait le jeu n’est pas tout à fait terminé, il manque encore quelques billes. Lire le panneau puis aller à droite (ou à gauche pour quitter le jeu). Prendre la bille, noter les coordonnées : 596 (pour revenir plus tard). Entrer les coordonnées : 728. prendre la bille sur le haut parleur.

– Revenir au tout début (001). Remonter d’un niveau (étage de l’ordinateur et de l’imprimante), placer l’ampoule dans la machine et cliquer sur la vis pour obtenir une bille.

– Revenir en 462, aller vers les cubes (les quatre sont levés maintenant) ouvrir la trappe et prendre la bille.

– Revenir en 728, tourner à droite, placer les 21 billes dans le réceptacle. Visiter les pièces à droite pour apprendre en bonus quelques secrets sur la fabrication du jeu. Cette fois c’est bien fini !

Author: Lambda



Rewolucje 6; character diversity


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Today a rewolucje sketch with a little twist. I was sitting at my computer trying to improve diversity of the rewolucje characters, and came up with this drawing. As for a graphic novel series created fully in watercolours such a digital sketch can be a small oddity worth showing. So here it is.



Rewolucje Syntagma; recenzja w Hot Magazine


rewolucje4_okladka100Misterny splot

„Syntagma” to zaskakujące i rewelacyjne zakończenie osadzonej w alternatywnym świecie retro czterotomowej miniserii „Rewolucje” Mateusza Skutnika, jednego z najbardziej oryginalnych i utalentowanych polskich rysowników. W przeciwieństwie do poprzednich części – bardzo poetyckich i onirycznych, w ostatniej uderza nagła zmiana tempa opowieści, która dzięki szybkiej i sprawnej akcji staje się wręcz sensacyjna. Wszystkie dotychczasowe wątki perfekcyjnie splatają się w jeden wielopoziomowy system naczyń połączonych, okazując się idealnie zazębiającymi się trybikami wielkiej maszyny generującej spójną rzeczywistość. Kunszt misternej fabuły jest tym większy, że „Syntagma” może być swobodnie czytana jako samodzielny album, bez znajomości poprzednich części. Komiks czyta się z zapartym tchem także dzięki bardzo plastycznej i filmowej konstrukcji fabuły. W warstwie graficznej Skutnik również dokonał subtelnych zmian, wprowadzając nieco grubsze kontury postaci i mniej pastelowe, a bardziej żywe kolory. Obowiązkowa pozycja.

Łukasz Chmielewski



Submachine Insight




Blaki2 finished


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Today I finished my newest graphic novel, Blaki2 with stories written by Karol Konwerski, to be published in Znak publishing house this fall. It’s going to be a 60-page album loosely based on a book by Leszek Kołakowski. Now all I have to do is make a cover, scan this, insert text into speech bubbles and ship it to the publishing house.



Czaki, recenzja na Esensji


Córeczko! Wolałabym, żebyś była chłopcem!

Co może się zdarzyć, gdy lekarze zaraz po porodzie dochodzą do wniosku, że nowonarodzony chłopiec to tak naprawdę dziewczynka? Gdy nie są do końca pewni, czym jest to coś między nogami dziecka? I jak wygląda późniejsze życie tegoż? Na te wszystkie pytania znajdziecie odpowiedź w komiksie „Czaki” Dominika Szcześniaka i Mateusza Skutnika.

„Czaki” to taka nasza polska zinowo-undergroundowa legenda. Komiks Szcześniaka i Skutnika wydany został dotąd trzykrotnie pod tytułem „Czaki eunuch: das pimmel story”. W nieoficjalnym obiegu i dość niskiej jakości edytorskiej. Teraz doczekał się wydania dla kolekcjonerów (to ostatnio modne na naszym ryneczku komiksowym), a więc kredowego papieru, kolorowej okładki, isbn-u… i narysowanej przez Szcześniaka kontynuacji. I dobrze, bo na pewno na to zasłużył.

Ten komiks to przede wszystkim opowieść. Szcześniak (zwany w niektórych kręgach Lucjanem) stworzył historię, która pod płaszczykiem absurdu pełna jest dość ponurych obserwacji. Głównym tematem tego komiksu wydaje się być brak zrozumienia miedzy ludźmi. Zajęci własnymi sprawami, niezainteresowani drugim człowiekiem, nawet tym, z którym złączeni są najmocniejszymi więzami. „Czaki” jest dość ostrą satyrą na najmniejszą komórkę społeczną – rodzinę. Autorzy z gryzącą ironią pokazują zanik umiejętności dialogu wśród członków rodziny, których bardziej interesują problemy telewizyjnych postaci niż losy najbliższych.

Szcześniak kpi również z lekarzy, których przedstawia jako bandę niekompetentnych idiotów. No bo co to za specjaliści, którzy nie potrafią rozpoznać penisa? Co z przysięgą Hipokratesa, gdy lekarz w komiksie poinformowany o rzekomej ciąży pacjentki pyta najpierw „usuwamy?”. Mimo że to dość przerażające obrazy, scenarzysta serwuje je w taki sposób, że czytelnik pęka ze śmiechu.

Rysunki w albumie wydanym przez wydawnictwo Timof i Cisi Wspólnicy nie są może wybitne, ale nie przeszkadzają w odbiorze fabuły. A ta, jak napisałem wcześniej, stanowi trzon tego komiksu. Skutnik i Szcześniak przyjęli oszczędną, dość szkicową formę, która jednak doskonale pasuje do opowiadanej historii. Ogromną zaletą grafiki w „Czakim” jest sprawność narracyjna. Komiks czyta się płynnie, brak tu nudnych przestojów czy nieporadności. Wszystko jest wyważone, nawet sceny monologów nie nużą czytelnika. Jedynie liternictwo (zwłaszcza u Skutnika) można by dopracować bądź zastąpić komputerową czcionką, gdyż bywa nieczytelne i niedbałe.

„Czaki” to komiks godny polecenia, gdyż jest pełen kpin i czarnego humoru, ale też dość smutnych obserwacji. Historia została opowiedziana z wielką wprawą i wyczuciem. Jest w nim to, czego brakuje w wielu komiksach pojawiających się w pierwszym obiegu – łatwość snucia opowieści i umiejętność przekazywania jej czytelnikowi. Wielu rysowników i scenarzystów może się z tego komiksu dużo nauczyć.

Daniel Gizicki



rewolucje 6; sketches, part 3


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Rewolucje 6; sketches part 2


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Czaki; recenzja na BelowRadars


czaki_okladka100Czaki

Zdecydowanie najśmieszniejszy i najbardziej popierzony ze scenariuszy Szcześniaka. Czaki doczekał się w końcu wersji oficjalnej nie kserowanej – i bardzo dobrze. Szkoda jedynie, że oprócz materiału podstawowego, oryginalnego, album ten „wzbogacony” został przez autora scenariusza o Czakiego 2 – rzecz raczej średnią i średnio śmieszną. Komiks ten to legenda undergroundu (przynajmniej dla niektórych). Co do rysunków Skutnika, to rysunkowy miszmasz, mieszanka stylów i konwencji, w których Mateusz rysował i rysuje do dzisiaj. Taka wypadkowa pomiędzy Morfołakami, a Rewolucjami.

Karol Konwerski



Rewolucje 6, sketches 1


sketches for “Rewolucje6: Na morzu” comic album:

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